SYNOPSIS :

A sa création en 1959, l’Institut Cubain de l’Art et de l’Industrie Cinématographique produit tout d’abord des courts métrages documentaires et pédagogiques. Cette même année une loi affirme, ce qui n’était pas évident à l’époque, que le cinéma est un art  mais également une industrie qui doit contribuer à affermir les conceptions révolutionnaires du castrisme. Pour cela, les  cinéastes doivent relater la réalité du pays, au travers de son Histoire.

Après le blocus économique des Etats Unis : L’ICAIC prend le contrôle du marché cinématographique de l’île : il distribue et exploite 594 salles pour 83 millions de spectateurs ! Entre propagande et censure, des réalisateurs locaux et étrangers ont réussi à nous offrir des scénarios populaires de qualité tels que Memorias del subdesarollo et Lucia.

Grâce à de nombreux extraits de films et d’interviews, ce documentaire de Ramón Suárez est une réussite.