Antonio de La Torre – Notre Parrain :

Heureux comme Dieu en France, dit le proverbe. Il faut dire ici, Heureux comme Antonio de La Torre l’Acteur. Il pratique ce métier avec le désir de se mettre en retrait, d’être le porte-voix, quel que soit le registre, d’un autre homme, émergeant des pages d’un scénario! Né en 1968 à Malaga, il a toujours voulu être acteur. Il entreprend pour ce faire des études à Madrid. Mais le métier ne lui permettant pas d’en vivre, il fait  une école de journalisme et alterne petits rôles, et de second plan avec son activité de journaliste. En 2007,  il reçoit le Goya du meilleur acteur dans un second rôle. Dès lors, il inscrit la célébrité sur son CV. Daniel Sanchez Arévalo lui dit : «Je vais écrire un scénario qui sera à la hauteur de ton talent». Alex De la Iglesia, Pedro Almodóvar, Alberto Rodríguez, Manuel Sánchez Cuenca, Rodrigo Sorogoyen, etc. ont ponctué sa «décade prodigieuse»: treize nominations aux Goya comme meilleur acteur! Et enfin, le 2 février 2019, la « malédiction» est brisée. Il reçoit, à Séville, le Goya pour El Reino, sa composition fascinante d’un homme politique corrompu. «Acteur, inouï, prodigieux» (dit Le masque et la plume) Il aurait pu l’avoir pour La Noche de doce años, (titre français pour le film Compañeros), où il était également nommé cette année! Aujourd’hui, il règne sur le cinéma espagnol. Pour revenir au proverbe de départ, il souhaite que le cinéma français, («où l’on boit du bon vin sur les tournages») lui offre un personnage à sa mesure. « Au cinéma, comme dans le journalisme, plus on avance, meilleur on est. Mais un acteur ne doit pas être conscient de ce qu’il donne, de ce qu’il devient. Il doit garder son âme d’enfant ».

Fernando Trueba :

Dans les années 70, Fernando Trueba travaille comme critique de cinéma dans divers quotidiens notamment El País puis en 1980 il crée son propre magazine de cinéma Casablanca. Après six courts-métrages, il réalise son premier long, Opera Prima (1980) et enchaîne avec plusieurs comédies sentimentales où il met en scène des stars du cinéma espagnol en devenir comme Carmen Maura ou Marisa Paredes. Ses plus gros succès d’alors s’intitulent Se infiel y no mires con quien (1985) et L’Année des lumières (1986). En 1982, il fonde la maison de production Opera Films. Il mène dès lors une triple carrière de réalisateur, de scénariste notamment pour Fernando Colomo, et de producteur pour le cinéma et la télévision. Réalisateur de nombreux films à succès (La Nina de tus ojos, Calle 54, Chico et Rita, El artista y la modelo) Il reçoit en 1992 l’Oscar du Meilleur Film en langue étrangère pour Belle époque. Passionné de jazz latino, il crée une société de productions d’albums qui seront nominés et primés aux Grammy.

 

Lola Dueñas :

Actrice espagnole, elle connait ses premiers succès au cinéma dès l’année 2000. En 2004, elle obtient son premier Goya de meilleure actrice, pour Mar adentro, avec Javier Bardem. Elle collabore à quatre reprises avec Pedro Almodóvar: Parle avec elle en 2002; Volver qui lui vaut le prix d’interprétation collectif au Festival de Cannes en 2005; Etreintes brisées en 2009; Les amants passagers en 2013. Parallèlement à sa carrière espagnole, elle a enchaîné depuis 2010 les rôles remarquables et remarqués dans le jeune cinéma d’auteur français: Angèle et Tony, Les femmes du sixième étage, Suzanne, La pièce manquante, La fille du patron, Tiens-toi droite, Les ogres et le délicieux « road movie» Il se passe quelque chose présenté à Cannes en 2018.

 

 

Isaki Lacuesta et Isa Campo :

Un couple qui fait grandir le cinéma espagnol !

Né en 1975, Isaki Lacuesta est un réalisateur brillant, qui représente sans doute le mieux le foisonnement des genres cinématographiques. Producteur, scénariste, critique, enseignant, écrivain, il réalise des courts métrages, des longs métrages, des installations ou encore des spectacles vivants, de nouvelles formes de narration inspirées de l’essai, la correspondance ou l’art vidéo.

Isa Campo, née en 1975 à Oviedo, travaille depuis plus d’une décennie déjà aux côtés d’Isaki Lacuesta en tant que coréalisatrice. La Propera pell, leur première fiction, a gagné le prix de l’Horizon d’Or de CineHorizontes en 2017.

Fermin Muguruza :

Fermin Muguruza est une figure importante du paysage culturel basque, depuis le début des années 1980. Originaire d’Irun, il fut le chanteur des groupes Kortatu et Negu Gorriak. Deux noms qui tintent joliment aux oreilles des amateurs de rock.

Muguruza enchaîne toujours les projets musicaux mais sa palette d’artiste s’est étendue. Il ne s’interdit aucun média et a acquis une solide expérience de documentariste. Notamment avec la série « Next music station », qui explore pour la chaîne Al Jazeera la création musicale dans le monde arabe. Avec « Black is Beltza », il adapte le roman graphique éponyme publié voilà cinq ans.

Salvador Simó :

Après des études à Los Angeles, Salvador Simó commence, comme Buñuel, sa carrière à Paris, mais aux studios Walt Disney. C’est dans l’ombre des grands maîtres qu’il se fait la main. De retour à Barcelone, il plonge dans le monde des effets spéciaux et notamment des blockbusters hollywoodiens. Il fait le tour du monde, enseigne, réalise deux courts métrages. Il découvre alors la bande dessinée de Fermín Solís (2008). Pour Buñuel après l’âge d’or, il décide d’abandonner les images de synthèse et de reprendre le crayon.

 

Raúl de la Fuente :

Né à Pampelune en 1974, Raúl de La Fuente connaît un premier succès après avoir réalisé Nömadak Tx en 2006. Il réalise plus tard Minerita, pour lequel il recevra le Goya du court-métrage documentaire en 2014. Le court-métrage sera également sélectionné dans la short-list pour les Oscars 2015. En 2018, il coréalise avec un Damian Nenow, Another Day of Life, un documentaire et film d’animation primé par l’European Film Academy ainsi que par l’académie des arts et des sciences cinématographiques d’Espagne.

Antxón Gómez :

Derrière les décors somptueux de Dolor y gloria, il y a Antxón Gómez, basque né en 1952.

Chimiste de formation et collectionneur de nature, il est arrivé tardivement dans le monde du cinéma, en 1993 comme directeur artistique sur le titre Huevos de oro de Bigas Luna. Parmi ses autres réalisations, mentionnons Salvador (2006) de Manuel Huerga et Le moine de Dominik Moll (2011). Antxón Gómez a remporté un Goya pour sa mise en scène de l’épopée Che (2008) de Steven Soderbergh. Mais il avouait il y a quelques années au Monde : « Je n’aime rien tant que travailler avec Pedro car il accorde beaucoup d’importance aux décors ». Depuis les débuts de Carne trémula en 1997, on lui doit les décors de Tout sur ma mère, Parle avec elle, La mauvaise éducation, Etreintes brisées, La piel que habito, Les amants passagers et Julieta.

Fernando Colomo
Fernando Colomo :

Éternel jeune homme de 74 ans au sourire pétillant de vie, réalisateur, scénariste, producteur et parfois acteur, il est un des maîtres incontestés de la comédie espagnole.

Très impliqué dans La Movida, il a toujours gardé contact avec la réalité et l’histoire de son pays qu’il regarde avec une sympathie ironique et pleine de fantaisie. Ne vous laissez pas tromper !  Il le dit lui-même : « La comédie est une affaire très sérieuse ». Il nous fait l’honneur et le plaisir de venir lui-même présenter son dernier film, Antes de la quema, prix du public au festival de Malaga de 2019.

 

 

Koldo Almandoz
Koldo Almandoz :

Koldo Almandoz né dans le pays basque à Donostia, est réalisateur mais aussi journaliste, animateur radio et directeur du magazine culturel The Balde. Dans le nouveau cinéma basque il est connu comme l’auteur de plusieurs courts métrages, documentaires et pièces expérimentales, tels que Belarra (2002), Columba Palumbus (2007) et Hubert Le Blonen azken hegaldia (The Last Flight of Hubert Le Blon, 2014). Son premier long métrage, Sipo phantasma (Navire fantôme, 2016), a été projeté à Saint-Sébastien. La même année, il participe au film collectif Kalebegiak, également projeté à Saint-Sébastien. En 2017, il revient en compétition à Saint-Sébastien avec le court métrage Plágan (Peste). Oreina est son deuxième long métrage, mais le premier de fiction.

Nicolas Pacheco
Nicolás Pacheco :

Après quelques courts métrages et un passage par le théâtre alternatif, cet andalou de 39 ans débute dans le long métrage avec Jaulas, film qui parle de l’individu et de sa possibilité d’échapper à son destin. On y découvre un réalisateur qui a déjà son propre style, mais aussi une très grande culture cinématographique, ainsi qu’une créativité certaine. Il travaille déjà sur son prochain projet, la comédie La pasión de Nella Barrantes.

Emmanuel Larraz :

Professeur émérite de l’Université de Bourgogne, Emmanuel Larraz est le rédacteur de la première histoire du cinéma espagnol en langue française : Le cinéma espagnol des origines à nos jours, préfacée par Luis García Berlanga (Editions du Cerf, 1986). En 2002, il a co-réalisé avec Gilles Dinnematin, un documentaire passionnant sur La Guerre d’Espagne dans les actualités filmées Pathé. Tout au long de sa carrière, Il a dirigé des thèses de doctorat axées sur la plupart des cinéastes espagnols connus (Montxo Armendáriz, Pedro Portabella, Carlos Saura, Pilar Miró, Ana Mariscal, Lorenzo Soler, J.A. Bardem, Eloy de la Iglesia), sans oublier celles sur le cinéma cubain (Le cinéma cubain antérieur à la Révolution, L’oeuvre d’Enrique Pineda Barnet).

Le Roi d’Espagne lui a attribué, en 2007, le titre de Comendador de la Orden de Isabel la Católica.

 

 

eve fourmont giustiniani
Eve Fourmont Giustinani :

Maître de conférences au département d’études hispaniques et latino-américaines de l’Université Aix-Marseille et ancienne membre de la Casa de Velázquez à Madrid, Eve Fourmont Giustiniani centre sa recherche sur la civilisation et la littérature de l’Espagne contemporaine. Elle est experte sur l’histoire culturelle de l’exil républicain espagnol de 1939, et sur l’histoire des intellectuels et des idées politiques en Espagne.

Gérard Malgat :

Docteur en Études Ibériques de l’Université Nanterre Paris Ouest la Défense, Gérard Malgat a notamment publié en 2013, aux éditions de l’Atinoir à Marseille, une version remaniée de sa thèse (soutenue en 2002 et dirigée par Jacques Maurice, déjà publiée en 2007 en Espagne à Séville, chez Renacimiento) : « Max Aub et la France, ou l’espoir trahi ? », ainsi qu’un essai sur « Gilberto Bosques, la diplomatie au service de la liberté ».

Severiano Rojo Hernandez :

Professeur au Département d’Études hispaniques et latino-américaines de l’Université d’Aix-Marseille, Severiano Rojo Hernández est spécialiste de l’Espagne contemporaine, du pays basque, et de la guerre civile espagnole. Rédacteur en chef de la revue Amnis depuis 2000 il codirige également la revue El Argonauta Español, depuis 2004.

isabelle alonso ©Philippe MATSAS
Isabelle Alonso :

Née en France de réfugiés politiques républicains espagnols, cette hispano-française est incapable de choisir entre ses deux passeports Elle préfèrerait une carte d’identité de citoyenne du monde. Chroniqueuse radio et télévision chez Philippe Bouvard et Laurent Ruquier, mais aussi militante engagée pour la défense des droits de la femme, elle a publié à ce jour cinq essais féministes et sept romans, dont plusieurs sont directement inspirés par la vie de sa famille exilée. Elle viendra le Mardi 12 Novembre.

Florence Lloret :

Née à Toulouse en 1968, Florence Lloret a réalisé plusieurs films documentaires. Parallèlement, elle a contribué à la création de la compagnie de la Cité. Aujourd’hui, elle dirige le Théâtre La Cité à Marseille, tout en travaillant sur le développement de la collection « Chemin faisant, Marseille » et du pôle jeunesse, un espace de création partagé avec enfants et adolescents.

Stéphane Fernandez :

Ancien journaliste, il a commencé à écrire et à réaliser des films documentaires il y a dix ans, après une formation chez Ardèche Images. Il travaille sur des sujets liés à la mémoire et à sa transmission. Il a réalisé Goulag, la mémoire enfermée et Les derniers survivants de la Kolyma. Angel est son troisième film, un travail où le réalisateur raconte l’histoire vraie de la lutte antifranquiste et de l’exil de celui qui aurait pu être son grand-père de cœur, son ami Angel Fernandez.

Léa Monforte :

Petite-fille d’espagnols, formée à l’École Supérieure d’Études Cinématographiques, Léa Monforte est réalisatrice et monteuse. Pour son premier film elle fait appel au témoignage de sa grand-mère, aux archives provenant de la cinémathèque du Parti Communiste Français et au cinéma d’animation, pour proposer un regard sur la Retirada.

Roberto Castón :

Roberto Castón, né à La Corogne en 1973, est un linguiste spécialisé dans l’enseignement des langues, réalisateur et scénariste de films.

Après des études de philologie hispanique à l’Université de Saint-Jacques de Compostelle, il a enseigné l’espagnol à l’Institut Cervantes de Lisbonne pendant deux ans. Il a ensuite étudié la réalisation cinématographique au Centre d’estudis cinematogràfics de Catalunya (CECC) à Barcelone et a promu la création en 2004 du festival du film sur le thème LGBT Zinegoak à Bilbao, dont il a été directeur jusqu’en 2011, passant, en 2012, au poste qu’il occupe actuellement, de Directeur des programmes. Après avoir réalisé quelques courts métrages qui ont été projetés dans des festivals du monde entier, il a tourné en 2009 son premier long métrage Ander, qui raconte une histoire d’amour entre deux hommes du monde rural basque, le premier du genre tourné en langue basque. Sa première mondiale a eu lieu à la Berlinale, où il a remporté le prix de la CICAE, le premier de 25 autres prix qu’il remportera (dont le Grand Prix du jury de CineHorizontes). En 2014, il a présenté son deuxième long métrage en première mondiale au Festival du film de Saint-Sébastien, Los tontos y los estupidos, avec lequel il a remporté pour la deuxième fois le Grand Prix du Jury de CineHorizontes.

Jean Benguigui
Jean Benguigui :

Issu d’une famille pied-noir, Jean Benguigui, incarne le type même du personnage méditerranéen.

D’abord acteur dramatique dans Les Camisards de René Allio (1970), La Question de Laurent Heynemann (1977), La dérobade de Daniel Duval avec le rôle de Jean-Jean (1979). Ensuite, avec Buffet froid de Bertrand Blier, il fait une première échappée vers un univers plus léger. Puis, sa collaboration avec des réalisateurs comme Alexandre Arcady, Philippe de Broca, Claude Zidi, Josiane Balasko, Olivier Nakache et Éric Toledano, le fait devenir un spécialiste savoureux des seconds rôles comiques, jouant de son physique bonhomme. En quarante-neuf ans de carrière, il a donné vie avec le plus grand naturel à des centaines de personnages différents mais vrais, aussi bien au cinéma qu’au théâtre.

Linda Mekboul :

Linda Mekboul a travaillé pendant de nombreuses années à la codirection des cinémas Le César et Les Variétés à Marseille, en tant que responsable de programmation événementielle. Elle a collaboré avec la plupart des acteurs culturels locaux et accueilli l’ensemble des festivals de cinéma du territoire. Horizontes del Sur fait évidemment partie des partenaires historiques des César et Variétés avec son fameux festival CineHorizontes et bien d’autres programmations !

bernard bessiere
Bernard Bessière :

Ce professeur émérite de l’Université d’Aix-Marseille est responsable au Centre Aixois d’Études Romaines (CAER) et ancien membre de la Casa Velázquez à Madrid. Spécialiste de l’histoire politique et culturelle de l’Espagne contemporaine et de l’iconographie du monde hispanique, il a écrit une douzaine d’ouvrages dont le plus récent Histoire, Culture, Société (Paris, La découverte, 2016) en collaboration avec Bartolomé Bennassar.

Ancien élève aux Cours Simon, Julien Sabatié Ancora a complété sa formation avec le Footsbarn Théâtre. Comédien il partage son temps entre des collaborations théâtrales et des rôles à l’écran sous la di-rection notamment de Nicole Garcia, Denis Amar, Jean Louis Lorenzi, Bertrand Arthuys et Fabienne Godet. Depuis deux ans il assure la mise en scène de la dernière création de Bycollectif, Vania une même nuit nous attend tous, d’après Oncle Vania d’Anton Tchekhov.
Julien Sabatie Ancora :

Ancien élève aux Cours Simon, Julien Sabatié Ancora a complété sa formation avec le Footsbarn Théâtre. Comédien il partage son temps entre des collaborations théâtrales et des rôles à l’écran sous la direction notamment de Nicole Garcia, Denis Amar, Jean Louis Lorenzi, Bertrand Arthuys et Fabienne Godet. Depuis deux ans il assure la mise en scène de la dernière création de Bycollectif, Vania une même nuit nous attend tous, d’après Oncle Vania d’Anton Tchekhov.

Lucie Makeïeff
Lucie Makeïeff :

Journaliste à La Provence.

« A l’image de ma ville, Marseille, j’ai toujours été très ouverte et sensible aux autres horizons et la mixité qui fait d’elle ce qu’elle est. Attachée aux arts et à la richesse culturelle qui émane d’elle, ma fonction de chargée de la communication des événements liés à la culture de notre ville pour le journal La Provence me donnent l’immense chance de rester au cœur de ce qu’il s’y fait de meilleur, comme aujourd’hui. »

molly fournel
Molly Fournel :

Libraire à Marseille, petite fille d’exilés d’une Espagne de la misère, Molly Fournel se pose toujours la question de la transmission de la mémoire. Selon elle, la littérature et le cinéma racontent le présent et forment en même temps un lien avec le passé.

Carmen Blanco
Carmen Blanco :

Lauréate de notre Résidence d’écriture 2019, Carmen Blanco est réalisatrice et scénariste. Elle a tourné et distribué en Espagne son premier long-métrage, Los amores cobardes, primé au Festival de cinéma d’Alicante.

yvan cadiou
Yvan Cadiou :

L’Espagne, l’Italie, l’Angleterre, la Chine la Scandinavie… et, bien-sûr, la France ! Le chef Yvan Cadiou a voyagé pendant 14 ans pour rassembler les goûts et les secrets gastronomiques de la moitié du monde et pour les proposer aux convives de Provence. Basé à Saint Rémy, où il réalise ses fameuses ‘cooking classes’, il a accepté de venir à Marseille pour partager avec CineHorizontes une soirée spéciale cinéma-cuisine. Profitez avec nous de cette rencontre gustative unique !!

Jeudi 21 novembre 20 h – Restaurant éphémère LE COOK IN POTES  (1, place Sadi Carnot)

Places limitées. Prix 30€.

Réservations par mail : reservationscinehorizontes@gmail.com